Repérer les informations pertinentes près de deux mois avant qu’elles ne fassent le buzz, c’est possible !
L’université Carlos III de Madrid (UC3M), l’université Autonome de Madrid ainsi que le NICTA (National Information and Communications Technology Australia) australien et les universités américaines de Yale et de San Diego (Californie), ont collaboré sur un projet de surveillance de réseaux sociaux et ils ont révélé des résultats surprenants.
Les chercheurs de ce projet sont partis de l’hypothèse qu’il existait, sur les différents réseaux sociaux, ce qu’ils ont appelé des sentinelles ou des capteurs, c’est-à-dire des personnes ou groupes de personnes diffusant des informations qui se propageront ensuite de manière virale sur les ré...