Tous les morts sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres ! Ce détournement du slogan orwellien traduit durement mais exactement les conclusions de l’article d’Alain Parant. Non seulement la mort ne frappe pas indifféremment les hommes, mais encore l’écart se creuse toujours davantage entre les catégories sociales du sommet de la hiérarchie et les autres.
Les femmes, traditionnellement plus robustes que les hommes, se différencient néanmoins selon qu’elles travaillent ou non. Les femmes actives occupent, vis-à-vis de la mort, une position plus enviable que les femmes inactives.
Cet article qui fait le point des recherches récentes, apporte des informations inédites sur un phénomène social mal connu et souvent délibérément occulté.