Les mystères de l’an 2000 s’estompent au fur et à mesure que l’échéance millénaire se rapproche. La prospective perdra, dans la célébration du troisième millénaire, un peu de son sel. Mais elle doit y trouver un supplément d’âme. Au-delà des efforts institutionnels de prévision et d’esquisse du futur, Serge Antoine nous montre que la prospective n’est possible que si elle est portée par la société tout entière : une société qui doit cultiver » l’instinct du long terme « .
Prospective de la prospective
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 100, juin 1986