Nous avons assisté à un recul séculaire de la violence, de l’agressivité et des conflits. Les moeurs se sont adoucies et, à défaut d’être toujours courtoises, les relations sociales ont évolué dans le sens d’une plus grande tolérance, sinon d’une indifférence polie.
Le retour de la violence
Cet article fait partie de la revue Futuribles n° 206, février 1996