Dirigé par Gérard Chaliand, l’ouvrage s’interroge sur les transformations des modes d’actions, valeurs, justifications, cibles, des agents du « terrorisme ». Cette notion se révèle parfois contre-productive dans sa compréhension scientifique tant elle fait appel aux registres de la diabolisation de l’adversaire et de l’émotion. Aussi, un long travail de définition est-il opéré pour distinguer cette stratégie d’autres répertoires d’action collective à forte capacité insurrectionnelle (guérilla...