Il serait « plus facile de cerner les grands mouvements séculaires que de prédire les fluctuations proches ». Sur cette croyance, les prospectivistes de la vieille école peuvent s’en donner à cœur joie et écrire des scénarios de science-fiction plausibles qu’ils baptisent scénarios de prospective pour l’an 2100. En cent petites pages, on a la liberté de simplifier sans scru...