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IA et éthique : vers une homogénéisation des pratiques ?

Après l’Union européenne, l’OCDE, le Forum économique mondial, Microsoft ou encore Telefónica, c’est au tour de la Chine de se positionner dans le champ de l’éthique avec ses principes pour l’intelligence artificielle (IA), rédigés par l’Académie d’intelligence artificielle de Beijing, financée, entre autres, par le ministère des Sciences et Technologies, ainsi que les entreprises Tencent et Baidu. Rendus publics en mai 2019, ces principes reprennent la même terminologie que les autres chartes sur le sujet :
– la recherche en IA doit être ouverte, responsable et transparente ;
– les objectifs, philanthropiques ;
– les moyens, raisonnés et contrôlés.

Ces règles doivent permettre de protéger la vie privée, la dignité, la liberté, l’autonomie et les droits des individus.

L’annonce peut prêter à sourire...