Prenant acte du grippage – et donc de l’inefficacité de plus en plus flagrante – des modes de gouvernance au sein des organisations humaines, administrations publiques comme structures de droit privé, les auteurs s’engagent dans une sorte d’exégèse de l’exercice de formes verticales du pouvoir. Forts du constat de l’inadaptation de styles managériaux traditionnels qui, quels que soient leurs qualificatifs alléchants, ne prennent pas en considération l’évolution du rapport de tout un chacun avec le monde qui l’entoure, ils nous conduisent à nous interroger sur les vertus de modalités managériales et décisionnaires alternatives.
Pour ce faire, ils s’appuient sans l’énoncer sur une variante de la « théorie du tout » ch...